Titre : | Les fourberies de Scapin | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Molière ((1622,1673)), Auteur | Editeur : | Hachette | Année de publication : | 1976 | Collection : | Nouveaux classiques illustrés Hachette | Importance : | 120p | Format : | 18 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-01-002879-3 | Prix : | 3.00 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Littérature Théatre
| Résumé : | Dieu qu'il y a d'agrément à « fourber » des pères aussi égoïstes et pingres que Géronte et Argante, à leur soutirer leurs chères pistoles et à les rouer de coups de bâton! Scapin s'est un peu fait prier pour la forme, mais on jurerait bien qu'il se livre à ses facéties moins pour venir en aide à Léandre et à Octave - jeunes benêts qui ne vaudront bientôt pas mieux que leurs pères -que pour le pur plaisir du jeu qui consiste à se servir de son intelligence pour manipuler son prochain. il semble que nous n'ayons plus aujourd'hui de ces; « gentillesses d'esprit », de ces « galanteries ingé-nieuses » qui exigent avant tout de la finesse, car si nous trompons toujours, si nous mentons, hélas ! nous ne fourbons plus... |
Les fourberies de Scapin [texte imprimé] / Molière ((1622,1673)), Auteur . - [S.l.] : Hachette, 1976 . - 120p ; 18 cm. - ( Nouveaux classiques illustrés Hachette) . ISBN : 978-2-01-002879-3 : 3.00 Langues : Français ( fre) Catégories : | Littérature Théatre
| Résumé : | Dieu qu'il y a d'agrément à « fourber » des pères aussi égoïstes et pingres que Géronte et Argante, à leur soutirer leurs chères pistoles et à les rouer de coups de bâton! Scapin s'est un peu fait prier pour la forme, mais on jurerait bien qu'il se livre à ses facéties moins pour venir en aide à Léandre et à Octave - jeunes benêts qui ne vaudront bientôt pas mieux que leurs pères -que pour le pur plaisir du jeu qui consiste à se servir de son intelligence pour manipuler son prochain. il semble que nous n'ayons plus aujourd'hui de ces; « gentillesses d'esprit », de ces « galanteries ingé-nieuses » qui exigent avant tout de la finesse, car si nous trompons toujours, si nous mentons, hélas ! nous ne fourbons plus... |
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