| Titre : |
Les pendules |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Christie, Agatha ((1890-1976)), Auteur ; Guasco, Théodore, Traducteur |
| Editeur : |
Librairie des Champs-Elysées |
| Année de publication : |
1972 |
| Collection : |
Club des masques num. 50 |
| Importance : |
251p |
| Format : |
17 cm |
| Prix : |
1.00 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
Romans policiers
|
| Résumé : |
Miss Pebmarsh a bien failli mettre le pied dessus. Même, elle l'aurait piétiné, ce cadavre, si Sheila n'avait pas crié. Que voulez-vous : Miss Pebmarsh est aveugle et elle a été bien surprise d'apprendre qu'il y avait le corps d'un inconnu derrière son canapé. Et d'abord, que fait Sheila chez elle ? Jamais, au grand jamais, elle n'a demandé à l'agence où travaille la jeune fille qu'on lui envoie une dactylo. Et d'où viennent toutes ces pendules - toutes en avance d'une heure - qui encombrent les meubles de son salon ?
Avec Hercule Poirot comme conseiller technique, un jeune et beau garçon, mystérieusement attaché à quelque service secret, saura tirer de cet inextricable imbroglio le fil qui mène au meurtrier.
|
Les pendules [texte imprimé] / Christie, Agatha ((1890-1976)), Auteur ; Guasco, Théodore, Traducteur . - Librairie des Champs-Elysées, 1972 . - 251p ; 17 cm. - ( Club des masques; 50) . 1.00 Langues : Français ( fre) | Catégories : |
Romans policiers
|
| Résumé : |
Miss Pebmarsh a bien failli mettre le pied dessus. Même, elle l'aurait piétiné, ce cadavre, si Sheila n'avait pas crié. Que voulez-vous : Miss Pebmarsh est aveugle et elle a été bien surprise d'apprendre qu'il y avait le corps d'un inconnu derrière son canapé. Et d'abord, que fait Sheila chez elle ? Jamais, au grand jamais, elle n'a demandé à l'agence où travaille la jeune fille qu'on lui envoie une dactylo. Et d'où viennent toutes ces pendules - toutes en avance d'une heure - qui encombrent les meubles de son salon ?
Avec Hercule Poirot comme conseiller technique, un jeune et beau garçon, mystérieusement attaché à quelque service secret, saura tirer de cet inextricable imbroglio le fil qui mène au meurtrier.
|
|  |